Réciprocité est utilisé comme terme commun pour interdépendance et constellation. Des fonctifs qui contractent une réciprocité mutuelle sont appelés réciproques.
18
Fonction ne contenant que des constantes ou des variables.
Une Op spécifique ayant donné un résultat est dite générique s'il est affirmé qu'elle peut être effectuée sur une classe très étendue ou sur un nombre élevé de classes.
Une Op ayant donné un résultat est dite spécifique s'il est affirmé qu'elle peut être effectuée sur une ou plusieurs classes d'objets par opposition à d'autres classes où cette opération ne peut être effectuée.
Une Op avec un résultat donné est dite universelle s'il est affirmé que cette Op peut être effectuée sur n'importe quel objet. -
Les résultats d'une Op universelle sont appelés universels.
32
Une opération avec un résultat donné est appelée universelle, et ses résultantes universelles, si on affirme que l'opération peut être effectuée sur n'importe quel objet.
Une Op avec un résultat donné est dite générale s'il est affirmé que cette Op peut être effectuée sur n'importe quel objet
sous certaines conditions, mais non sous toutes les conditions.
Une analyse est une description d'un objet par la dépendance uniforme d'autres objets à celui-ci et [de ceux-ci] entre eux. - La phrase est (sont) analysé(s) en peut être représentée par le symbole : $\analyse$.
1
Description d'un objet à travers les dépendances homogènes d'autres objets sur lui et sur eux réciproquement.
Les composantes d'une classe sont les autres objets, uniformément dépendants de la classe et les uns des autres, enregistrés au cours d'une seule analyse.
3
Objets qui sont enregistrés par une seule analyse comme homogènement dépendants de la classe et d'eux-mêmes réciproquement.
Une fonction (symbole : $\fonction$) est une dépendance qui satisfait aux conditions pour une analyse. - (L'absence d'une fonction est symbolisée par $\overline{\fonction}$; cf. Défs 103-104)
8
Dépendance qui remplit les conditions d'une analyse.
La relation ou connexion (symbole : $\et$) désigne la fonction "et...et". Le symbole pour la relation (qui est différent de R, cf. Déf. 256) peut être omis, comme le signe de multiplication en algèbre : $pq=p \et q$.
Une hiérarchie (symbole : $\hierarchie$) est une classe de classes. Par convention, $\hierarchie p$signifiera toujours : la hiérarchie composée de tous les $p$.
Un fonctif (symbole : $p, q, r ...$) est un objet qui a une fonction par rapport à d'autres objets. - Un fonctif est dit avoir une fonction à (et non "être fonction de") un autre fonctif. On dira d'un fonctif qu'il contracte sa fonction.
, fonctif
10
, 9
Un fonctif est dit contracter sa fonction. Objet qui a une fonction par rapport à d'autres objets.
Une constante (symboles : $a, b, c...$) est un fonctif dont la présence est une condition nécessaire à la présence du fonctif par rapport auquel il a une fonction.
12
Fonctif dont la présence est une condition à la présence du fonctif par rapport auquel il a une fonction.
Une variable (symbole : $x,y,z...$) est un fonctif dont la présence n'est pas une condition nécessaire à la présence du fonctif auquel il a une fonction.
13
Fonctif dont la présence n'est pas une condition nécessaire à la présence du fonctif par rapport auquel il a une fonction.
Les dérivés d'une classe sont ses composantes et les composantes des composantes d'une seule et même déduction - La classe est dite inclure (symbole : $\inclut$) ses dérivés et leurs fonctions mutuelles et les dérivés et leurs fonctions mutuelles sont dits entrer dans (symbole : $\entre$) la classe.
, dérivés
22
, 21
Une classe est dit comprendre ses dérivés.
Composantes et composantes-de-composantes d'une classe à l'intérieur d'une seule et même déduction.
Le degré (symbole : $1, 2, 3 ...$ après le symbole du dérivé) de dérivés
fait référence au nombre de classes à travers lesquelles ils ont une fonction avec leur plus basse classe commune. - Si le
nombre est $0$, les dérivés sont dits être de premier degré ; si le nombre
est $1$, les dérivés sont dits être de second degré, et ainsi de suite.
24
Référence au nombre de classes à travers lesquelles les dérivés sont dépendants de leur classe commune la plus basse. (Si ce nombre est 0, on dit que les dérivés sont de 1er degré ; si le nombre est 1, on dit que les dérivés sont de 2nd degré ; et ainsi de suite.)
Une mutation (symbole : $\mutation$) est une fonction existant entre des dérivés du premier degré d'une seule et même classe, une fonction qui a une relation à une fonction entre d'autres dérivés de premier degré d'une seule et même classe et appartenant au même rang.
44
Fonction existant entre des dérivés de premier degré d'une seule et même classe ; fonction qui a une relation par rapport à une fonction avec d'autres dérivés de premier degré d'une seule et même classe et appartenant au même rang.
Une sémiotique (symbole : $\semiotique$) est une hiérarchie dont chacune des composantes admet une analyse ultérieure en classes définies par relation mutuelle, de telle sorte que chacune de ces classes admette une analyse en dérivés définis par mutation mutuelle.
53
Hiérarchie dont n'importe quelle composante admet une analyse ultérieure en classes définies par relation mutuelle, de telle sorte que n'importe laquelle de ces classes admette une analyse en dérivés définis par mutation mutuelle.
Une syntagmatique ou procès de signes (symbole : $\syntagmatique$) est un procèssémiotique. $\interne \syntagmatique$ peut être utilisé pour symboliser la syntagmatique d'une sémiotique dénotative, et les symboles correspondants peuvent être utilisés pour les syntagmatiques des autres sortes de sémiotiques.
Une paradigmatique ou système de signes (symbole : $\paradigmatique$) est un systèmesémiotique. $\interne \paradigmatique$ peut être utilisé
pour symboliser la paradigmatique d'une sémiotique dénotative, et les
symboles correspondants peuvent être utilisés pour les paradigmatiques
des autres sortes de sémiotiques.
Une matière est une classe de variables qui manifeste plus
d'une chaîne dans plus d'une syntagmatique, et/ou plus d'un paradigme
dans plus d'une paradigmatique.
69
Classe de variables qui manifeste plus d'une chaîne à l'intérieur de plus d'une syntagmatique, et/ou plus d'un paradigme à l'intérieur de plus d'une paradigmatique.
Une sémiotique connotative (symbole : $\semiotiqueconnotative$) est une sémiotique non scientifique dont un ou plusieurs plan(s) est (sont) une (des) sémiotique(s).
103
Sémiotique non scientifique dont l'un (ou plusieurs) des plan est (ston) une (des) sémiotique(s).
Des variantes (symbole : $\variante$) sont des corrélats avec substitution mutuelle. Le symbole $\variante p$ se lit "la variante p". Le symbole $\variantede{p}$ se lit "variante de p".
Une solidarité est une relation entre deux constantes. Quand il n'y a que deux et seulement deux constantes qui contractent la solidarité, la solidarité peut être appelée une connexion bilatérale.
Une Op avec un résultat donné est dite particulière s'il est affirmé que cette Op peut être effectuée sur un certain objet mais pas sur n'importe quel autre objet. - Les résultantes d'une Op particulière sont dites particulières.
33
Une opération avec un résultat donné est appelée particulière, et ses résultantes particulières, si on affirme que l'opération peut être effectuée sur un objet donné, mais pas sur n'importe quel autre.
Un participant (symboles : $\participanta$,$\participantA$, $\participantb$, $\participantB$,$\participantg$, $\participantG$, $\participantb_2$, $\participantB_2$, $\participantg_2$, $\participantG_2$) est un corrélat qui contracte une participation.
Une corrélation est dite contraire (symbole : $\contraire$) si elle est contractée par deux corrélats dont chacun est défini comme "tout ce qui (à l'intérieur du paradigme des corrélats) n'est pas l'autre corrélat, à l'exception de tout ce qui (à l'intérieur du paradigme des corrélats) n'est ni l'un ni l'autre corrélat".
Une corrélation est dite contradictoire (symbole : $\contradictoire$) si elle est contractée par deux corrélats dont chacun est défini comme "tout ce qui (sans exception à l'intérieur du paradigme des corrélats) n'est pas l'autre corrélat".
Une corrélation simple (symbole : $\correlationsimple$) est une corrélation qui, envisagée comme une exclusion, peut indifféremment être conçue comme contraire ou contradictoire.
$\participantG_2$ = occupant alternativement les cases $\casea$ et $\caseb$ avec opposition mutuelle et chacune en opposition à $\casec$ ou bien sans opposition de case.
Une zone (symbole : $\zonea$, $\zoneb$, $\zoneg$) est la totalité de $\participanta$ et de $\participantA$ (et de $\participanta'$, $\participantA'$, $\participanta,$, $\participantA,$) ou de $\participantb$ et de $\participantB$ (et de $\participantb'$, $\participantB'$, $\participantb,$, $\participantB,$, $\participantb_2$, $\participantB_2$) ou de $\participantg$, $\participantG$, et, quand il convient, de $\participantG_2$ (et de $\participantg'$, $\participantG'$, $\participantG_2'$, $\participantg,$, $\participantG,$, $\participantG_2,$, $\participantg_2$).
Une somme est complexe si elle inclut deux ou plus de deux autres sommes d'un degré donné. - Les sommes complexes peuvent être spécifiées comme duplexes, triplexes, quadruplexes, quintuplexes, sextuplexes, octuplexes..., multiplexes. Une unité complexe est symbolisée par l'exposant $\unitecomplexe$, une unité duplexe par l'exposant $\duplexe$, une unité triplexe par $\triplexe$, et ainsi de suite.
Une complémentarité est une corrélation entre deux constantes. Si les constantes qui contractent la complémentarité sont au nombre de deux et de seulement deux, la complémentarité peut être appelée une corrélation bilatérale.
[Une case fonctionnelle est une fonction avec tous ses fonctifs possibles. ]6
6 Quelques temps après que le tapuscrit ait été préparé à partir du manuscrit, les définitions d'établissement, d'établissant et d'établie ont été révisées afin de présupposer une définition de case fonctionnelle. Des indications ont été alors ajoutées au manuscrit pour insérer cette nouvelle définition et modifier les trois autres conformément au dossier des cartes des définitions. Les trois définitions révisées (à comparer aux Défs 98, 99 et 100 ci-dessous) apparaissent dans le dossier comme suit :
Un établissement est une relation qui existe entre un paradigme de sommes et une case fonctionnelleentrant dans une ou plusieurs sommes et que le paradigme des sommescontracte en tant que constante. La case fonctionnelle qui a un établissement à un paradigme de sommes est appelée établissante (symbole : $\etablissante$). La case fonctionnelle est dite établir chacune des sommes dans laquelle elle entre. Une somme dans laquelle entre une case fonctionnelle qui a un établissement au paradigme de la somme est appelée établie (symbole : $\etablie$).
Plus tard encore - comme cela a été enregistré dans un rapport multigraphié d'un colloque tenu le 2 décembre 1957 - Hjelmslev a adopté la stratégie de définition suivante :
Case fonctionnelle - comme ci-dessus ; Établissement - la relation entre une fonction et sa case fonctionnelle; Cellule - case fonctionnelle ayant une cohésion à un paradigme de sommes, qui (le paradigme) contracte la cohésion en tant que constante [comparer à Déf 216, ci-dessous (F.J.W)]. La cohésion est appelée une consolidation, et la cellule est dite consolider la constante. (F.J.W)
Une catégorie (symbole : $\categorie{}$) est un paradigme qui a une corrélation avec un ou plusieurs autres paradigmes du même rang.
Un indice (excepté pour les symboles $_2$ et $_3$, voir Défs 169-170) peut être mis dans le coin inférieur gauche d'une formule d'une catégorie pour indiquer plus précisément la classe de fonctifs entrant dans la catégorie. Si un tel indice est ajouté, le symbole pour la catégorie peut être omis : $_{\solidarite} p= _\solidarite\categorie{p}=$ catégorie des fonctifs définis par solidarité ; $_\combinaison p= _\combinaison\categorie{p}=$ catégorie des fonctifs définis par combinaison ; et ainsi de suite. Une catégorie de glossèmes (Déf 183) peut être symbolisée par le signe d'une catégorie uniquement ou par un indice uniquement : $ \categorie{}=\categorie{\glosseme}=$ catégorie de glossèmes ; $ _\solidarite = _\solidarite \glosseme =$ catégorie de glossèmes définis par solidarité ; $_\combinaison = _\combinaison \glosseme =$ catégorie de glossèmes définis par combinaison ; et ainsi de suite.
75
Paradigme qui a une corrélation par rapport à un ou plusieurs autres paradigmes à l'intérieur du même rang.
Un établissement est une relation qui existe entre une somme et une fonctionentant dans cette somme, et que la fonction contracte comme constante.
7
7Ceci est la forme sous laquelle la définition apparaît aussi dans OSG (page 76), dans PTL elle a été modifiée par la suppression de la dernière condition. (F.J.W.)
46
Relation qui existe entre une somme et une fonction y entrant. La fonction est dit établir la somme, et la somme être établie par la fonction.
Etant donné un fonctif qui est présent sous certaines conditions et absent sous certaines autres conditions, alors, dans les conditions où le fonctif est présent, on dit qu'il y a application du fonctif, et dans ces conditions le fonctif est dit s'appliquer - et dans les conditions où le fonctif est absent, on dit qu'il y a suspension (symbole : $\suspension$
) du fonctif, et dans ces conditions le fonctif est dit être suspendu.
, application
47
, 47
Etant donné un fonctif qui est présent dans certaines conditions et absent dans certaines autres, dans les conditions où le fonctif est présent, on dit qu'il y a application du fonctif, et dans ces conditions le fonctif est dit s'appliquer.
Etant donné un fonctif qui est présent dans certaines conditions et absent dans certaines autres, dans les conditions où le fonctif est présent, on dit qu'il y a application du fonctif, et dans ces conditions le fonctif est dit s'appliquer.
Une syncrétisation est une solidarité entre une variante et une superposition. La variante est dite syncrétisante relativement au syncrétisme qui est établi par la superposition.
Une défectivation est une solidarité entre une variante et une séjonction. La variante est dite défectiver (symbole : $\defectiver$) la catégoriedéfective, et celle-ci est dite être défectivée par (symbole : $\defectivee$) la variante.
Un intensif (symbole : $\intensifa$, $\intensifb$, $\intensifg$) est un pôle qui a des variantesdominantes et qui contracte une polarité avec un pôle qui n'a pas de variantesdominantes.
Un extensif (symbole : $\participantA$, $\participantB$, $\participantG$, $\participantG_2$) est un pôle qui n'a pas de variantesdominantes et qui contracte une polarité avec un pôle qui a des variantesdominantes.
Un contensif (symbole : $\participanta'$, $\participantA'$, $\participantb'$, $\participantB'$, $\participantg'$, $\participantG'$, $\participantG_2'$) est un pôle qui ne contracte pas de polarité permettant de déterminer s'il est intensif ou s'il est extensif.
Un pseudo-intensif (symboles : $\participanta'$, $\participantb'$, $\participantg'$) est un contensif qui occupe la place d'un intensif dans une corrélation.
Un pseudo-extensif (symbole : $\participantA\prime$, $\participantB\prime$, $\participantG\prime$, $\participantG_2 \prime$) est un contensif qui occupe la place d'un extensif dans une corrélation.
Un inextensif (symboles : $\participanta,$, $\participantb,$, $\participantg,$) est un extensif qui occupe la place d'un intensif dans une corrélation.
Un exintensif (symbole : $\participantA_\prime$, $\participantB_\prime$, $\participantG_\prime$, $\participantGd_\prime$) est un intensif qui occupe la place d'un intensif dans une corrélation.
Une unité (symbole : $\unite$) est une chaîne qui a une relation à une ou plusieurs autres chaînes de même rang. Un exposant dans le coin supérieur droit (excepté pour $\chaine$ et $\deg$, voir Défs 34 et 25) signifie toujours une unité de fonctifs appartenant à la classe indiquée par le symbole auquel l'exposant est ajouté : $\fonctif\unite=$ unité de fonctifs ; $\constante \unite =$ unité de constantes ; $ \variable\unite=$ unité de variables ; $ \variante \unite=$ unité de variantes ; $ p^\selectionnant \unite=$ unté de relats sélectionnants ; $p^\solidarite \unite=$ unité de relats solidaires ; et ainsi de suite. Une unité de glossèmes (Déf 183) peut être symbolisée par $\unite$ seul : $\unite= \glosseme\unite $. Si l'exposant comprend des spécifications plus précises sur l'unité, la lettre $\unite$ peut être omise : $p ^\solidarite = p^\solidarite\unite= $ unité avec solidarité entre les fonctifs y entrant, $p ^\combinaison = p^ \combinaison\unite=$ unité avec combinaison entre les fonctifs y entrant, et ainsi de suite ; $^\solidarite=$ unités de glossèmes avec solidarité mutuelle, $^\combinaison=$ unités de glossèmes avec combinaison mutuelle, et ainsi de suite.
Une catégorie fonctionnelle est la catégorie des fonctifs qui sont enregistrés dans une seule analyse avec une fonction donnée comme base de l'analyse.
76
Catégorie des fonctifs enregistrés dans une seule analyse avec une fonction donnée prise comme base d'analyse.
Les catégories fonctiviques sont les catégories qui sont enregistrées par articulation d'une catégorie fonctionnelle selon les possibilités fonctiviques.
77
Catégorie qui est enregistrée par l'articulation d'une catégorie fonctionnelle selon les possibilités des fonctifs.
Les pré-relats sont les relats qui sont enregistrés dans une Op sans qu'il soit possible de déterminer dans cette Op si l'enregistrement peut être maintenu de manière définitive. -- De même, on peut parler de pré-éléments, de pré-unités, de pré-parties, etc. et, en général, de pré-fonctifs. Les pré-fonctifs sont symbolisés au moyen du préfixe $\pre$.
Une réduction est la suppression de l'enregistrement d'un pré-fonctif dans une classefonctivique donnée. -- Le symbole pour "est (sont) réduit(s) à" est $\reduction$.
Deux fonctifs sont dits être conformes (symbole : $\conformite$ ) si chaque dérivéparticulier de l'un des fonctifs contracte exclusivement les mêmes fonctions comme dérivé particulier de l'autre fonctif, et vice versa.
96
On dit que deux fonctifs sont conformes si n'importe quel dérivé particulier d'un des fonctifs contracte sans exception les mêmes fonctions qu'un dérivé particulier de l'autre fonctif, et vice versa.
Cohésion est un terme commun pour interdépendance et détermination. Des fonctifs qui contractent une cohésion mutuelle sont dits cohésifs. Pour une cohésion paradigmatique on utilise le symbole $\cohesionparadigmatique$, pour une cohésion syntagmatique, le symbole .
17
Fonction dont au moins un des fonctifs est une constante.
Une fusion (symbole : ᛦ) est une manifestation d'un syncrétisme qui, du point de vue de la hiérarchie de la substance, est identique à la manifestation soit de tous soit d'aucun fonctif qui entre dans le syncrétisme. Par contraste, une implication est une manifestation d'un syncrétisme qui, du point de vue de la hiérarchie de la substance, est identique à la manifestation d'un ou plusieurs fonctifs qui entre dans le syncrétisme mais pas dans tous. Voir PTL 115-116, OSG 80-81. Un fonctif $p$ dont la manifestation n'est pas identique à la manifestation du syncrétisme est dit impliquer un fonctif $q$ dont la manifestation est identique à la manifestation du syncrétisme ($p\implique q$), et celui-ci est dit être impliqué parcelui-là ($q\impliquepar p$). (F.J.W)
, implication
83
, 84
Manifestation d'un syncrétisme qui, du point de vue de la hiérarchie de la substance, est identique à la manifestation de tous ou d'aucun des fonctifs qui entrent dans le syncrétisme.
Manifestation d'un syncrétisme qui, du point de vue de la hiérarchie de la substance, est identique à la manifestation d'un ou plusieurs fonctifs qui entrent dans le syncrétisme, mais pas à tous.
La catalyse est l'enregistrement de cohésions par le remplacement d'une grandeur par une autre avec laquelle elle a une substitution. -- La grandeur remplacée est dite être catalysée par (symbole : $\catalysee$) la grandeur qui la remplace.
88
Enregistrement de cohésions à travers le remplacement d'une grandeur par une autre par rapport à laquelle elle a une substitution.
Un connectif (symbole : *X) est un fonctif qui sous certaines conditions est solidaire avec la relationétablissant des unités complexes d'un certain degré9. -- Le symbole $\connectif p$ se lit "le connectif $p$". Le symbole $\connectif (p \unite)$ se lit "connectif pour l'unité $p \unite$".
9Ceci est la forme sous laquelle la définition apparaît aussi dans OSG (page 65), dans PTL (pages 93, 169) elle a été modifiée par la suppression des mots "la relation établissant". Noter que cela aurait entraîné le changement correspondant dans la Rg 54. (F.J.W.)
95
Fonctif qui dans certaines conditions est solidaire d'unités complexes d'un degré donné.
Un indicateur (symbole : $\indicateur$) est une partie qui entre dans un ou deux fonctifs de telle sorte que les fonctifs ont une substitution mutuelle si la partie est déduite et que l'on trouve sous certaines conditions données dans tous les fonctifs d'un degrédonné.
99
Parties qui entrent dans des fonctifs de façon que les fonctions aient une substitution mutuelle quand ces parties sont déduites.
Un signal (symbole : $\signal$) est un indicateur qui ne se trouve pas, dans des conditions données, dans tous les plans (cf. Déf 153) -- Le symbole $\signal p$ se lit "le signal $p$" ; le symbole $\signal (p)$ se lit "le signal pour $p$".
100
Indicateur qu'on peut toujours univoquement ranger dans un plan distinct de la sémiotique.
Une facultativité est une superposition avec zéro dans laquelle la dominance est optionnelle. Un fonctif contractant une facultativité est appelé facultatif (symbole : $\facultatif{p}$).
82
Superposition avec zéro dans laquelle la dominance est à option.
Une latence est une superposition avec zéro dans laquelle la dominance est obligatoire. Un fonctif qui contracte une latence est appelé latent (symbole : $\latent{p}$)
87
Supersposition avec zéro dans laquelle la dominance est obligatoire.
Les appellations plan de contenu ou plérématique (symbole : $\plancontenu$) et plan d'expression ou cénématique (symbole : $\planexpression$) sont des noms distincts attribués arbitrairement aux plans d'une sémiotique dont le nombre est deux et seulement deux.
Un plan dénotatif (symbole : xg°) est un plan externe qui est une sémiotique dénotative. Un plan dénotatif peut aussi être appelé arbitrairement (cf. Défs 163-164) plan d'expression externe.
Un plan connotatif (symbole : $\planconnotatif$) est un plan externe qui n'est pas une sémiotique. Un plan connotatif peut aussi être appelé arbitrairement (cf. Défs 163-164) plan de contenu externe.
Une somme qui contracte une fonction hétéroplane est appelée extrinsèque. Le symbole pour une unité extrinsèque est $\uniteextrinseque{}$ ; le symbole pour une catégorie extrinsèque est $\categorieextrinseque{}$.
Une plérématie ou contenu (symboles : $\plerematie$, $\plerematieintrinseque$) est une glossématieplérématique. Une plérématie non intrinsèque (cf. Déf 371) est symbolisée par $\plerematie$ ; une plérématie intrinsèque est symbolisée par $\plerematieintrinseque$. La plérématie est dite plérématie pour ou contenu pour (symbole : $\plerematiepour$) la cénématie (Déf 374) ou la cénie (Déf 375) avec laquelle elle a une relation.
Ligne de contenu (symbole : $\lignecontenu$) et ligne d'expression (symbole : $\ligneexpression$) sont des désignations spéciales attribuées arbitrairement aux lignes dont le nombre dans une syntagmatique est deux et deux seulement.
Quand une unité de variétés d'une seule et même classesémiotique est établie par sélection (suivant Règ 3 1°), le terme base sémiotique est utilisé pour la variété qui entre dans l'unité comme constante mais pas en tant que variable.
L'invariante qui a une relation avec la base sémiotique d'une classesémiotique est appelée l'ante-sémiotique de la classe, et la classe est appelée sa post-sémiotique.
Une continuation ou un changement sémiotique est le contact entre une ante-sémiotique et sa post-sémiotique et entre les dérivés d'une ante-sémiotique et les dérivés de sa post-sémiotique. Les post-sémiotiques et leurs dérivés sont dits continuer (symbole : $\continuer$) respectivement leur ante-sémiotique et ses dérivés, et ils sont dits être continués par (symbole : $\continue$) respectivement leurs post-sémiotiques et leurs dérivés.
Quand un contact d'emprunt est présent entre deux sémiotiques et (cf. Règ 69) que la solidarité entre leurs variétés est réalisée comme sélection entre des dérivés des variétés, le dérivé sélectionnant est appelé un emprunt à la sémiotique qui inclut le dérivé sélectionné.
Une somme maximale (symbole $\sommemaximale$) est une somme qui est un dérivé du degré le plus bas possible d'une autre somme. NB: minimal et maximal ne sont pas opposés.
Un directif (symbole : $\directif$) est un taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs taxèmes qui contractent une direction dans toutes les lexiesmaximales dans lesquelles ils entrent.
Un constitutif (symbole : $\constitutif$) est un taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs taxèmes qui ne contractent de direction dans aucune des lexiesmaximales dans lesquelles ils entrent.
Un flexif (symbole : $\flexif$) est un taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs taxèmes qui à la fois contractent et ne contractent pas une direction dans toutes les lexiesmaximales dans lesquelles ils entrent.
Un thématif (symbole : $\thematif$) est un taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs taxèmes qui contractent une direction dans certaines des lexiesmaximales dans lesquelles ils entrent et ne contractent pas de direction dans d'autres lexies maximales dans lesquelles ils entrent.
Une variété de flexion d'un thématif (symbole : $\varietedeflexionthematif$) est une variété de direction d'un thématif qui à la fois contracte et ne contracte pas une direction.
Une somme homogène (symboles : unité homogène (voir succession) $\unitehomogene$, catégorie homogène $\categoriehomogene$) est une somme dans laquelle entrent des taxèmes d'une et d'une seule espèce simple d'un et d'un seul plan.
Les formatifs simples (symbole : $\formatifsimple$) sont les flexifs simplesplérématiques. Ce terme est purement opératoire jusqu'à γIII2 (cf. Déf 287).
Les prosodies simples (symbole : $\prosodiesimple$) sont les flexifs simplescénématiques. Ce terme est purement opératoire jusqu'à γIII2 (cf. Déf 288).
Un taxème fondamental ou une variété de taxème fondamental (symbole : $\taxemefondamental$) est un taxème ou une variété de taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs taxèmes qui peuvent contracter une direction et qui, quand ils la contractent, le font toujours en tant que dirigés, quelques soient les lexiesmaximales dans lesquelles ils entrent.
Un taxème converti ou une variété de taxème converti (symbole : $\taxemeconverti$) est un taxème ou une variété de taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs taxèmes qui peuvent contracter une direction et qui, quand ils la contractent, le font toujours en tant que directeur, quelque soit les lexiesmaximales dans lesquelles ils entrent.
Un taxème semi-fondamental ou une variété de taxème semi-fondamental (symbole : $\taxemesemifondamental$) est un taxème ou une variété de taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs taxèmes qui peuvent contracter une direction
et qui, quand ils la contractent, le font toujours en tant que dirigés par un taxème et en tant que directeur d'un autre taxème,
quelques soient les lexiesmaximales dans lesquelles ils entrent.
Un taxème ambifondamental ou une variété de taxème ambifondamental (symbole : $\taxemeambifondamental$) est un taxème ou une variété de taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs taxèmes qui peuvent contracter une direction
et qui, quand ils la contractent, le font toujours en tant que dirigés quand ils entrent dans certaines lexiesmaximales et en tant que directeurs quand il entrent dans certaines autres lexies maximales.
Une somme homosousgénérique (symboles : unité homosousgénérique (voir ensemble) $\unitehomosousgenerique$, catégorie homosousgénérique $\categoriehomosousgenerique$) est une somme dans laquelle entrent des taxèmes d'une et d'une seule sous-espèce simple d'une seule et même espèce simple.
Un taxème médian (symbole : $\taxememedian$) est un taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs
taxèmes qui contractent une intracohésion dans tous les ensemblesmaximaux dans lesquels ils entrent.
Un taxème périphérique (symbole : $\taxemeperipherique$) est un taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs taxèmes qui ne contractent d'intracohésion dans aucun des ensemblesmaximaux dans lesquels ils entrent.
Un taxème semi-médian (symbole : $\taxemesemimedian$) est un taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs
taxèmes qui à la fois contractent et ne contractent pas une intracohésion dans tous les ensemblesmaximaux dans lesquels ils entrent.
Un taxème ambimédian (symbole : $\taxemeambimedian$) est un taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs
taxèmes qui contractent une intracohésion dans certains ensemblesmaximaux dans lesquels ils entrent et ne contractent pas d'intracohésion dans les autres ensembles maximaux dans lesquels ils entrent.
Un taxème central ou une variété de taxème central (symbole : $\taxemecentral$) est un taxème ou une variété de taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs taxèmes qui peuvent contracter une intracohésion et qui, quand ils la contractent, le font toujours en tant que constante, quelque soit l'ensemblemaximal dans lequel ils entrent.
Un taxème marginal ou une variété de taxème marginal (symbole : $\taxememarginal$) est un taxème ou une variété de taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs taxèmes qui peuvent contracter une intracohésion et qui, quand ils la contractent, le font toujours en tant que variables, quelque soit l'ensemblemaximal dans lequel ils entrent.
Un taxème semi-central ou une variété de taxème semi-central (symbole : $\taxemesemicentral$)
est un taxème ou une variété de taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs taxèmes qui peuvent contracter une intracohésion et qui, quand ils la contractent, le font toujours en
tant que constantes relativement à un relat et en tant que variables relativement à un autre, quelque soit l'ensemblemaximal dans lequel ils
entrent.
Quand un ambicentralentre dans un ensemblemaximal dans lequel il contracte l'intracohésion en tant que variable, la variété marginale
de l'ambicentral est dite être présente (symbole : $\varietemarginale$).
Quand un ambicentralentre dans un ensemblemaximal dans lequel il contracte l'intracohésion en tant que constante relativement à un relat et comme variable relativement à un autre relat, la variété semi-centrale de l'ambicentral est dite être présente (symbole : $\varietesemicentrale$).
Quand un ambicentralentre dans un ensemblemaximal dans lequel il contracte une intracohésion en tant que constante, la variété centrale de l'ambicentral est dite être présente (symbole : $\varietecentrale$).
Un taxème ambicentral ou une variété de taxème ambicentral (symbole : $\taxemeambicentral$)
est un taxème ou une variété de taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs taxèmes qui peuvent contracter une intracohésion et qui, quand ils la contractent, le font toujours en
tant que constantes quand ils entrent dans certains ensemblesmaximaux et en tant que variables quand ils entrent dans certains autres ensembles maximaux.
Un taxème primaire (symbole : $\taxemeprimaire$) est un taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs taxèmes qui contractent une endocohésion dans toutes les successionsmaximales dans lesquelles ils entrent.
Un taxème secondaire (symbole : $\taxemesecondaire$)
est un taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou
plusieurs taxèmes qui ne contractent d'endocohésion dans aucune des successionsmaximales dans lesquelles ils entrent.
Un taxème semi-primaire (symbole : $\taxemesemiprimaire$)
est un taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou
plusieurs taxèmes qui à la fois contractent et ne contractent pas d'endocohésion dans toutes les successionsmaximales dans lesquelles ils entrent.
Quand un ambiprimaireentre dans une successionmaximal dans laquelle il
ne contracte pas d'endocohésion, la variété secondaire de l'ambiprimaire est dite être présente (symbole : $\varietesecondaire$).
Quand un ambiprimaireentre dans une successionmaximale dans laquelle à la fois il contracte et ne contracte pas une endocohésion, la variété
semi-primaire de l'ambiprimaire est dite être présente (symbole : $\varietesemiprimaire$).
Quand un ambiprimaireentre dans une successionmaximale dans laquelle il contracte une endocohésion, la variété primaire
de l'ambiprimaire est dite être présente (symbole : $\varieteprimaire$).
Un taxème ambiprimaire (symbole : $\taxemeambiprimaire$)
est un taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou
plusieurs taxèmes qui contractent une endocohésion dans certaines des successionsmaximales dans lesquelles ils entrent et n'en conractent pas dans d'autres successions maximales dans lesquelles ils entrent.
Un taxème principal ou une variété de taxème principal (symbole : $\taxemeprincipal$) est un taxème ou une variété de taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs
taxèmes qui peuvent contracter une endocohésion et qui, quand ils la contractent, le font toujours comme constantes, quelque soit la successionmaximale dans laquelle ils entrent.
Un taxème accessoire ou une variété de taxème accessoire (symbole : $\taxemeaccessoire$)
est un taxème ou une variété de taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs
taxèmes qui peuvent contracter une endocohésion et qui, quand ils la
contractent, le font toujours comme variables, quelque soit la successionmaximale dans laquelle ils entrent.
Un taxème semi-principal ou une variété de taxème semi-principal (symbole : $\taxemesemiprincipal$)
est un taxème ou une variété de taxème qui entre dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs
taxèmes qui peuvent contracter une endocohésion et qui, quand ils la
contractent, le font toujours comme constantes relativement à un relat et comme variables relativement à un autre relat, quelque soit la successionmaximale dans laquelle ils entrent.
Un taxème ambiprincipal ou une variété de taxème ambiprincipal (symbole : $\taxemeambiprincipal$)
est un taxème ou une variété de taxème qui dérivé dans une catégorie de taxèmesincluant un ou plusieurs
taxèmes qui peuvent contracter une endocohésion et qui, quand ils la
contractent, le font toujours comme constantes quand ils entrent dans certaines successionsmaximales
et toujours comme variables quand ils entrent dans certaines autres successions maximales.
Un glossème premier (symbole : $\glossemepremier$) est une catégorie fonctivique dont les éléments de plus haut degré sont des glossèmes. (Un $\glossemepremier$ est une dimension - voir Déf. 88).
Les appellations côté de contenu (symbole : $\cotecontenu$) et côté d'expression (symbole : $\coteexpression$) sont attribuées arbitrairement comme noms distincts pour les côtés dont le nombre dans une paradigmatique est deux et seulement deux.
Une espèce est un membre dans un plan qui contracte une corrélation contradictoire et/ou contraire. (Ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans Règ. 143)
Les constitutifs simples (symbole : $\constitutifsimple$) sont les espèces simples qui incluent les constitutifs et/ou les thématifs thématisés. (Ce termes a déjà été introduit de manière opératoire dans Règ. 143).
Les flexifs simples (symbole : $\flexifsimple$) sont les espèces simplesincluant des directifs et/ou des flexifs et/ou des variétés de direction et/ou des variétés de flexion (ce terme a été introduit de manière opératoire avant dans la Règ 143).
Les formatifs simple (symbole : $\formatifsimple$) sont les flexifs simplesplérématiques. (Ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans Règ 144).
Les prosodies simples (symbole : $\prosodiesimple$) sont les flexifs simplescénématiques. (Ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans la Règ 144).
Une sous-espèce est un membre d'une espèce qui contracte une corrélation contradictoire et/ou contraire. (Ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans Règ. 145.)
Une sous-espèce simple est un membre d'une espèce qui contracte une corrélation simple. (Ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans Règ 145).
Les thématies sont les sous-espèces simplesincluant les taxèmes et/ou les variétés de taxèmes convertis et/ou les constitutifs simples (ce terme a été introduit de manière opératoire avant, in Règ 145).
Les caractères sont les sous-espèces simplesincluant les taxèmes et/ou les variétés de taxèmes fondamentaux et/ou les taxèmes et/ou les variétés de taxèmes semi-fondamentaux. (Ce terme a été introduit de manière opératoire avant, in Règ 145).
Un glossème thématie ou une variété de glossème thématie (symbole : $\gthematie$) est un glossème ou une variété de glossème qui entre dans une thématie.
Un glossème caractère ou une variété de glossème caractère (symbole : $\gcaractere$) est un glossème ou une variété de glossème qui entre dans un caractère.
Un type est un membre d'une sous-espèce qui contracte une corrélation contradictoire et/ou contraire. (Ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans la Règ. 146).
Un type simple est un membre d'une une sous-espèce qui contracte une corrélation simple (ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans la Règ 146).
Les taxèmes périphériques simples et les variétés de taxèmes périphériques simples sont un type simpleincluant des taxèmes périphériques et/ou les variétés de taxèmes périphériques. (Ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans la Règ. 146).
Des taxèmes médians simples ou des variétés de taxèmes médians simples sont un type simpleincluant des taxèmes médians et/ou des taxèmes semi-médians et/ou des variétés de taxèmes médianes et/ou des variétés de taxèmes semi-médians. (Ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans Règ 146).
Un glossème périphérique simple ou une variété de glossème périphérique simple est un glossème ou une variété de glossème qui entre dans un taxème périphérique simple ou, respectivement, dans une variété de taxème périphérique simple.
Un glossème médian simple ou une variété de glossème médian simple est un glossème ou une variété de glossème qui entre dans un taxème médian simple ou, respectivement, dans une variété de taxème médian simple.
Un sous-type est un membre dans un type qui contracte une corrélation contradictoire et/ou contraire. (Ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans la Règ 147).
Un glossème central ou une variété de glossème central ($\glossemecentral$) est un glossème ou une variété de glossème qui entre dans un taxème central ou, respectivement, dans une variété de taxème central.
Un glossème maginal ou une variété de glossème maginal ($\glossememarginal$)
est un glossème ou une variété de glossème qui entre dans un taxème marginal ou, respectivement, dans une variété de taxème marginal.
Un glossème semi-central ou une variété de glossème semi-central ($\glossemesemicentral$)
est un glossème ou une variété de glossème qui entre dans un taxème semi-central ou, respectivement, dans une variété de taxème semi-central.
Un glossème ambicentral ou une variété de glossème ambicentral ($\glossemeambicentral$)
est un glossème ou une variété de glossème qui entre dans un taxème ambicentral ou, respectivement, dans une variété de taxème ambicentral.
Les taxèmes centrifuges et les variétés de taxèmes centrifuges sont des sous-types simplesincluant des taxèmes et/ou des variétés de taxèmes marginaux et/ou des taxèmes et/ou des variétés de taxèmes périphériques simples. (Ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans la Règ 147).
Les taxèmes centripètes et les variétés de taxèmes centripètes sont des sous-types simplesincluant des taxèmes centraux et/ou des variétés de taxèmes et/ou des taxèmes semi-centraux et/ou des variétés de taxèmes. (Ce terme a été introduit de manière opératoire précédemment, in Règ. 147).
Un glossème centrifuge ou une variété de glossème centrifuge est un glossème ou une variété de glossème qui entre dans un taxème centrifuge ou, respectivement, dans un variété de taxème centrifuge.
Un glossème centripète ou une variété de glossème centripète est un glossème ou
une variété de glossème qui entre dans un taxème centripète ou,
respectivement, dans un variété de taxème centripète.
Un tagma est un membre, dans un sous-type, qui contracte une corrélation contradictoire et/ou contraire (ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans la Règ 149).
Les taxèmes secondaires simples et les variétés de taxèmes secondaires simples sont des tagmata simplesincluant des taxèmes ou des variétés de taxèmes secondaires (ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans la Règ 149).
Les taxèmes primaires simples et les variétés de taxèmes primaires simples sont un tagma simpleincluant des taxèmes primaires et/ou des taxèmes semi-primaires et/ou des variétés de taxèmes primaires et/ou des variétés de taxèmes semi-primaires. (Ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans la Règ 149).
Un glossème secondaire simple ou une variété de glossème secondaire simple est un glossème ou une variété de glossème qui entre dans un taxème secondaire simple ou, respectivement, dans une variété de taxème secondaire simple.
Un glossème primaire simple ou une variété de glossème primaire simple est un glossème ou une variété de glossème qui entre dans un taxème primaire simple ou, respectivement, dans une variété de taxème primaire
simple.
Un sous-tagmata est un membre, dans un tagma, qui contracte une corrélation contradictoire et/ou contraire (ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans Règ 150).
Un sous-tagma simple est un membre, dans un tagma, qui contracte une corrélation simple (ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans Règ 150).
Un glossème principal ou une variété de glossème principal (symbole : $\glossemeprincipal$) est un glossème ou une variété de glossème qui entre dans un taxème principal ou, respectivement, dans une variété de taxème principal.
Un glossème accessoire ou une variété de glossème accessoire (symbole : $\glossemeaccessoire$)
est un glossème ou une variété de glossème qui entre dans un taxème accessoire ou, respectivement, dans une variété de taxème accessoire.
Un glossème semi-principal ou une variété de glossème semiprincipal (symbole : $\glossemesemiprincipal$)
est un glossème ou une variété de glossème qui entre dans un taxème semi-principal ou, respectivement, dans une variété de taxème semi-principal.
Un glossème ambiprincipal ou une variété de glossème ambiprincipal (symbole : $\glossemeambiprincipal$)
est un glossème ou une variété de glossème qui entre dans un taxème ambiprincipal ou, respectivement, dans une variété de taxème ambiprincipal.
Les taxèmes accessoires simples et les variétés de taxèmes accessoires simples sont les sous-tagmata simplesincluant des taxèmes accessoires et/ou des variétés de taxèmes accessoires et/ou des taxèmes secondaires simples et/ou des variétés de taxèmes secondaires simples (ce terme a déjà été introduit de manière opératoire dans Règ 150).
Les taxèmes principaux simples et les variétés de taxèmes principaux simples sont des sous-tagmata simplesincluant des taxèmes principaux et/ou des variétés de taxèmes principaux et/ou des taxèmes semi-principaux et/ou des variétés de taxèmes semi-principaux (ce terme a déjà été introduit
de manière opératoire dans Règ 150).
Un glossème accessoire simple ou une variété de glossème accessoire simple est un glossème ou
une variété de glossème qui entre dans un taxème accessoire simple ou,
respectivement, dans une variété de taxème accessoire simple.
Un glossème principal simple ou une variété de glossème principal simple est un glossème ou
une variété de glossème qui entre dans un taxème principal simple ou,
respectivement, dans une variété de taxème principal simple.
Une cénématie ou expression (symboles : $\cenematienonintrinseque$, $\cenematieintrinseque$) est une glossématiecénématique. Une cénématie non intrinsèque (Déf 371) est symbolisée par $\cenematienonintrinseque$ ; une cénématie intrinsèque est symbolisée par $\cenematieintrinseque$. La cénématie est dite être une cénématie ou une expression pour (symbole : $expressionpour$) la plérématie ou les pléries auxquelles elle a une relation.
Une somme hétérogène (symboles : unité hétérogène#, catégorie hétérogène#) est une somme dans laquelle entre des taxèmes des deux espèces simples dans un même et unique plan.
Une somme hétérosousgénérique (symboles : unité hétérosousgénérique (voir syntagme) $\syntagme$, catégorie hétérosousgénérique$\categorieheterosousgenerique{}$), est une somme dans laquelle entre des taxèmes des
deux sous-espèces simples sous une seule et même espèce simple.
Une somme hétérotypique (symboles : unité hétérotypique $\uniteheterotypique$, catégorie hétérotypique $\categorieheterotypique{}$) est une somme dans laquelle entre des taxèmes des deux types simples d'une même sous-espèce simple.
Une somme homotypique (symboles : unité homotypique $\unitehomotypique$, catégorie homotypique $\categoriehomotypique{}$) est une somme dans laquelle entre des taxèmes d'un seul et même type simple d'une seule et même sous-espèce simple.
Une somme hétérosoustypique (symboles : unité hétérosoustypique (voir suite) $\uniteheterosoustypique$, catégorie hétérosoustypique $\categorieheterosoustypique{}$) est une somme dans laquelle entrent des taxèmes des deux sous-types simples d'un seul et même type simple.
Une somme homosoustypique (symboles : unité homosoustypique (voir groupe) $\unitehomosoustypique$, catégorie homosoustypique $\categoriehomosoustypique{}$) est une somme dans laquelle entre des taxèmes d'un seul et même sous-type simple d'un seul et même type simple.
Une somme hétérotagmatique (symboles : unité hétérotagmatique (voir conglomérat) $\uniteheterotagmatique$, catégorie hétérotagmatique $\categorieheterotagmatique{}$) est une somme dans laquelle entre des taxèmes des deux tagmata simples d'un seul et même sous-type simple.
Une somme homotagmatique (symboles : unité homotagmatique (voir cómplexe) $\unitehomotagmatique$, catégorie homotagmatique $\categoriehomotagmatique{}$) est une somme dans laquelle entre des taxèmes d'un seul et même tagma simple d'un seul et même sous-type simple.
Une somme hétérosoustagmatique (symboles : unité hétérosoustagmatique $\uniteheterosoustagmatique$, catégorie hétérosoustagmatique $\categorieheterosoustagmatique{}$) est une somme dans laquelle entre des taxèmes des deux sous-tagmata simples d'un seul et même tagma simple.
Une somme homosoustagmatique (symboles : unité homosoustagmatique $\unitehomosoustagmatique$, catégorie homosoustagmatique $\categoriehomosoustagmatique{}$) est une somme dans laquelle entre des taxèmes d'un seul et même sous-tagma simple d'un seul et même tagma simple.
Une somme minimale est une somme dans laquelle n'entre pas exclusivement des sommes de même degré. - Le symbole pour une somme minimale est $\sommeminimale$ ; pour une unité minimale le symbole $\uniteminimale$ peut aussi être utilisé - Une somme minimale est une somme de la première puissance.
La puissance d'une somme (symbole : $I$, $II$, $III$, ... placé après le symbole d'une somme) renvoie au nombre maximal d'analyses uniques à travers lesquelles la somme peut être analysée exclusivement en sommes minimales de même degré. Si ce nombre est zéro, la somme est dite être de la première puissance, si ce nombre est un, la somme est dite être de la deuxième puissance, et ainsi de suite.
Un pseudothème (symbole : $\pseudotheme$) est un ensemble de thématies ou une variante d'ensemble de thématies qui n'est pas un thème intense et qui n'entre pas dans un thème intense minimal.
Une pseudocaractéristique (symbole : $\pseudocaracteristique$) est une caractéristique ou une variante de caractéristique qui ne contracte pas de relationétablissante de syntagme.
Une conjonction (symbole : $\conjonction$) est un pseudothème qui est un connectif. Une $\unitede{p}$-conjonction est une conjonction qui est un connectif pour $\unitede{p}: \conjonction (\unitede{p})$.
Une préposition est un pseudothème qui n'est pas un connectif et qui inclut un ou plusieurs taxèmes convertis et/ou une ou plusieurs variétés de taxèmes ambifondamentaux convertis.
Un adverbe est un pseudothème qui n'est pas un connectif et qui n'inclut pas de taxèmes convertis ou de variétés de taxèmes ambifondamentaux convertis.
Un sousjoint est un syntagme ou une variété de syntagme qui entre dans
une jonction en tant que sélectionnant l'adjoint sans contracter de congruence avec aucune partie de la jonction.
Une juxtaposition (symbole : $\juxtaposition$) est un syntagme dont le thèmeinclut un ou plusieurs thèmes ou pseudothème, mais pas de syntagmes de même degré.